Farouk Bouasker, président de l’Instance Supérieure Indépendante pour les Élections (ISIE), a annoncé que le prochain processus électoral nécessitera un budget de 40 millions de dinars.
Il a également noté que le coût des élections locales à venir ne dépassera pas celui des échéances électorales précédentes.
Lors d’une déclaration à l’Agence Tunisienne de Presse (TAP), Bouasker a souligné que la majeure partie des dépenses, soit les deux tiers du budget, sera autorisée aux organismes publics en collaboration avec l’instance électorale.
Il a précisé que cette allocation était une étant, étant donné que ces fonds publics doivent en fin de compte revenir aux établissements et organismes de l’État.
En ce qui concerne le reste du budget des élections, cette somme sera consacrée au recrutement des 60 000 agents de bureau de vote nécessaires pour le jour du scrutin.
Parlant du coût économique des élections locales à venir, le président de l’ISIE a révélé que les dépenses ne différeront pas significativement de celles des élections précédentes.
Il a souligné que ces élections, effectuées en deux tours, représentent une dépense considérable, étant donné qu’elles impliquent une participation directe de tous les bureaux de vote et plus de 9 millions d’électeurs. En revanche, les élections des districts et des régions, étant indirectes, seront moins chères.
