Le chef du gouvernement Youssef Chahed, l’a déjà affirmé au cours de la conférence nationale sur le projet de loi de finances 2018. « L’automobile populaire doit le redevenir », il est inconcevable pour le chef du gouvernement qu’une voiture qualifiée de populaire coûte au-delà de 30 milles dinars. Elle n’est plus à la portée de ceux qui ont en le plus besoin. Des mesures contenues dans le futur projet de loi de finances participeraient, selon le chef du gouvernement, à diminuer le coût de ce type de voitures. Hichem Ben Ahmed secrétaire d’Etat auprès du ministre du commerce, dans une déclaration accordée aux médias à confirmé ces propos du chef du gouvernement. Selon lui, l’Etat est en marge de supprimer 14 à 17% de taxes comptabilisées dans l’actuel prix des voitures populaires. Ce mécanisme concerne, selon le responsable, les voitures et les modèles qui sont déjà en circulation et n’inclura pas d’autres constructeurs automobiles dans le cadre d’un nouveau marché pour l’Etat.