
Hasna Jiballah, secrétaire d’État chargée des sociétés communautaires auprès du ministre de l’Emploi, a annoncé le 12 août une augmentation substantielle du plafond des subventions allouées à ces structures.
Fixé jusqu’ici à 300 000 dinars, il atteint désormais 1 million de dinars, à la suite de l’entrée en vigueur du décret gouvernemental n°542, a-t-elle précisé.
Par ailleurs, elle a fait savoir que la loi n°21 de 1995, régissant l’exploitation des terres domaniales, est en cours de révision pour permettre la création de plus de 144 nouvelles entreprises communautaires.
Alors qu’elles n’étaient que 4 en septembre 2024, la Tunisie compte désormais 250 sociétés communautaires disposant d’un matricule fiscal et attendant leur enregistrement au Registre National des Entreprises. Sur ces sociétés, 50 sont déjà actives et opérationnelles.











Bonjour, je suis le seul certificateur privé tunisien des systèmes de management. Francais, je ne m’entoure pour ce faire que d’auditeurs et de membre du comité de certification tunisiens. Créateur en France d’un tel certificateur depuis 1994 toujours en activité, je mets mon expérience au services de la Tunisie pour développer un tel certificateur tunisien en faisant remarquer que la « corruption » fait que depuis trente ans il n’y a pas pu se créer un tel certificateur privé tunisien et que l’Étatique innorpi a de bien modeste résultat comparé à l’Étatique français AFAQ-AFNOR. Ce qui laisse la place libre aux certificateurs d’origine étrangère. Sorte de colonialisme. Y a-t-il un tunisien prêt à reprendre à terme mon activité car j’ai 70 ans ? Merci de transmettre.
Ma question est : pourrais-je considérer que mon activité peut se faire sous la forme d’une société communautaire plutôt qu’actuellement une SARL, ASCII qualitatem Tunisia (certificateur) et SARL Alimedicert (commercial et gestionnaire des audits). Merci pour toute réponse.