
Alors que la hausse des prix fragilise le pouvoir d’achat de nombreuses familles tunisiennes, le Groupe Enda propose une réponse concrète et solidaire avec la 1ère édition du Festival de la Rentrée Scolaire.
Organisée par Enda Inter-Arabe, Enda Tamweel et Enda Tao, cette initiative qui a débuté aujourd’hui, mercredi 10 septembre 2025, s’étendra jusqu’au samedi 13 septembre 2025 à l’Espace El Kahina, à la Cité Ettahrir.
Véritable plateforme citoyenne alliant promotions exclusives, collecte de dons et éducation, l’événement sera ouvert chaque jour de 10h à 19h, avec une programmation pensée pour tous les âges, mêlant animations pour enfants et espaces de découverte pour les familles.
Des réductions et un cash back inédit
Durant ces trois jours, les visiteurs pourront profiter de remises importantes sur les fournitures scolaires, ainsi que d’un avantage exclusif de 10 % de cash back instantané sur tout paiement effectué via l’application Wallet. Les montants récupérés sont immédiatement crédités sur le compte Enda Tao et peuvent être utilisés à nouveau, aussi bien chez les partenaires commerciaux d’Enda Tao que dans les enseignes de la grande distribution telles que Aziza, Monoprix ou Carrefour. Une façon concrète de soutenir le pouvoir d’achat tout en encourageant l’usage de solutions de paiement digitalisées.
Soutenir le commerce local et l’action solidaire
Une dizaine de libraires et fournisseurs de matériel scolaire participent au festival permettant aux visiteurs de trouver une large gamme de produits allant des cartables aux manuels parascolaires en arabe, français et anglais, ainsi que des mobiliers de bureau et jeux éducatifs. Au-delà des réductions, Enda souhaite aussi donner de la visibilité à ces commerçants indépendants, souvent fragilisés par la concurrence des grandes surfaces et du commerce en ligne.
« Cet évènement est conçu pour que chaque achat devienne aussi un geste solidaire », explique Imen Hamza, Directrice programmes chez ENDA INTER ARABE.
Une opération citoyenne et éducative
Le festival intègre également une collecte de fournitures, de livres et même d’instruments de musique au profit d’enfants issus de milieux défavorisés. Les dons peuvent être effectués directement auprès des libraires partenaires présents sur place, favorisant une redistribution transparente et rapide.
Cette démarche s’inscrit dans la mission plus large d’Enda, qui consiste à réduire les inégalités en matière d’accès à l’éducation, dans un pays où l’école reste un vecteur central d’ascension sociale. Enda entend ainsi atténuer cette charge en alliant solutions commerciales, solidarité et innovation sociale.
Une vision à long terme
Cette initiative s’inscrit dans le cadre d’un engagement concret et durable en faveur de l’éducation en Tunisie. Depuis sa création, Enda a mis en place plusieurs programmes et établis de nombreux partenariats, notamment avec le ministère de l’Éducation, introduisant dès 2013 le programme Aflatoun d’éducation sociale et financière, qui s’est traduit par la création de clubs scolaires impliquant enseignants et élèves dans des centaines d’établissements. Elle a également lancé depuis 2006 le crédit « Tâalim », destiné à soutenir les familles vulnérables dans la prise en charge des frais scolaires et universitaires, dont ont bénéficié des centaines de milliers de familles. Sur le plan des infrastructures, Enda a initié un vaste programme de réhabilitation des écoles publiques, en particulier dans les régions défavorisées, permettant de rénover et d’équiper des dizaines d’établissements pour offrir aux élèves un cadre d’apprentissage plus adapté et inclusif. Enfin, avec Enda Academy et son partenariat avec Coursera, l’organisation met gratuitement à disposition des jeunes et de ses bénéficiaires des formations certifiantes en ligne, ouvrant ainsi de nouvelles perspectives d’insertion et de montée en compétences.
À travers ces initiatives, Enda ambitionne de faire de l’éducation un vecteur d’inclusion, de solidarité et d’innovation sociale. Cette démarche dépasse le cadre scolaire pour impliquer également la société civile, le secteur privé et les collectivités locales, conclu Imen Hamza.