Retour sur la 43ème Assemblée Générale d’AHK Tunisie

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AHK Tunisie

La Chambre Tunis-Allemande de l’Industrie et du Commerce – AHK Tunisie a récemment tenu sa 43ème Assemblée Générale afin de débattre sur la relance économique, les reformes et les investissements au cœur de son débat.

La ministre de l’Industrie, des Mines et de l’Energie, Neila Nouira Gongi, l’ambassadeur d’Allemagne en Tunisie, Peter Prügel, la Cheffe de section Commerce à la Délégation de l’Union Européenne en Tunisie, Stéphanie Vaddé, et Ibrahim Debache, président de l’AHK, ont échangé avec des entreprises membres sur la relance économique, les reformes et les investissements. 

Selon un communiqué de l’AHK, Ibrahim Debache a insisté sur le fait que « la prévisibilité, la stabilité politique et sociale ainsi qu’une bonne communication sont des facteurs importants pour créer un climat d’affaire propice aux investissements ».

Neila Nouira Gongi, a relevé que les relations économiques entre la Tunisie et l’Allemagne sont marquées par des liens très profonds et fructueux qui ne cessent de se développer et de se consolider. Elle a aussi souligné l’importance de la coopération avec les partenaires allemands qui a toujours été solide et le demeurera.

Peter Prügel, a quant à lui souligné que l’Allemagne suit avec beaucoup d’attention l’évolution de la Tunisie, sur tous les plans. De son côté l’Allemagne a fait l’expérience propre qu’un dialogue inclusif entre tous les acteurs politiques, sociaux et économiques constitue un facteur important pour la réussite d’importantes réformes socio-économiques. 

« L’Allemagne est, et restera un partenaire important et fiable pour la Tunisie. », a-t-il affirmé.

Stéphanie Vaddé a profité de l’occasion pour mettre en avant le partenariat tuniso-européenne qui s’inscrit dans la durée. « A la Délégation de l’Union européenne en Tunisie, nous sommes convaincus que l’investissement public et privé est nécessaire et possible en Tunisie, si les réformes sont mises en œuvre et des barrières sont levées. Nous nous mobilisons donc, avec les Etats membres et autres partenaires financiers, autour des réformes dont le secteur privé et notamment les investisseurs européens ont besoin. Ces derniers jouent un rôle majeur en Tunisie, où ils représentent 85% des IDE. », a-t-elle souligné.

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