
Leila Belkhiria Jaber, présidente de la chambre nationale des femmes chefs d’entreprises (CNFCE) a affirmé dans une déclaration aux médias que d’après les dernières estimations plus de 60% des diplômés du supérieur en Tunisie sont des femmes. Ces dernières représentent 40% des chômeurs diplômés du supérieur.
Les start-up tunisiennes peuvent à ce niveau jouer un rôle prédominant en procédant à des recrutements dans les rangs des femmes diplômées à la recherche d’opportunités d’emploi.
La Chambre s’emploie à réunir toutes les parties concernées pour étudier les incitations offertes aux start-up, l’objectif est d’améliorer le taux de survie de ces entreprises grâce à l’embauche des femmes. En dépit de la présence en Tunisie de 19 mille femmes entrepreneures leur représentativité dans les postes de responsabilités demeure très limitée.