La chaîne de Carthage+ s’apprête à lancer sa nouvelle grille à partir du mercredi 1er novembre 2017.
Carthage+ informe l’opinion publique qu’elle est la propriétaire exclusive des droits de diffusion des feuilletons « Soltana Kosem Saison 2 », et « Hob Aama 1 et 2 » en Tunisie. En dehors de toute polémique et propos diffamatoires, Carthage+ a respecté et respectera ses engagements financiers conformément au contrat signé, et tient à assurer son public que le contrat d’exclusivitéde Kosem2 appartient à Carthage+ et que ce contrat est sans aucun doute valide et de plein droit et n’a jamais été résilié ni annulé, il lui procure d’ailleurs le droit de diffusion en exclusivité du feuilleton Soltana Kosem 2 à partir de septembre 2017 jusqu’à Août 2018.
Carthage+ informe l’opinion publique et les différentes structures audiovisuelles qu’elle a déposé deux plaintes en Tunisie : une première plainte contre la société concernée et une autre a été déposée contre la société propriétaire des droits de distribution au Liban.
Carthage+ réaffirme sa confiance en la justice tunisienne pour adresser des signaux positifs aux investisseurs tunisiens et étrangers quant à son indépendance et sa crédibilité et comme étant garant des droits de toutes les parties.
Carthage+ appelle toutes les structures professionnelles à l’instar de la Haute Autorité Indépendante de la Communication Audiovisuelle (HAICA), le Syndicat National des Journalistes Tunisiens (SNJT) et la Chambre Syndicale des Télévisions Privées à dénoncer les abus et à défendre tous les établissements médiatiques dans le cadre de la concurrence loyale.
Notons que la chaîne Carthage+, détenue par l’homme d’affaires résident en France,
M. Lassaâd Khdir, a obtenu l’autorisation de la HAICA sous l’appellation Carthage+ en date du 18 septembre 2017, une nouvelle chaîne de télévision plus axée sur les dramas arabes, tunisiens et étrangers dans l’objectif de renforcer le paysage audiovisuel en Tunisie.
Il est à souligner que le propriétaire de la Chaîne a investi dans le secteur audiovisuel à travers la création d’une cité médiatique qui comprend, une université dans l’audiovisuel,de très grands studios où se produit tout au long de l’année des productions d’émissions du monde arabe et des feuilletons tunisiens libyens et algériens.