
La situation financière des cliniques privées tunisiennes reste préoccupante avec les dettes de l’État libyen qui s’élèvent à 350 millions de dinars.
C’est ce qu’a déclaré Boubaker Zakhama, président de la Chambre Syndicale Nationale des Cliniques Privées, à Tunisie Numérique.
Les dettes accumulées de l’Etat libyen envers plus de 60 cliniques privées tunisiennes représentent un fardeau financier significatif pour le secteur de la santé en Tunisie, a-t-il précisé.
Le responsable a souligné que malgré les engagements pris, cette problématique qui remonte à 2011 demeure en suspens.
Depuis la révolution de 2011 en Libye, ces dettes sont restées en suspens, impactant sérieusement la trésorerie des cliniques privées tunisiennes et leur capacité à fournir des services de qualité.